« La belle dévoreuse », inspirée du roman brésilien « Luciolá » de José de Alencar.
De cette femme virginale et courtisane
Hésitante comme ton destin,
Quelles promesses dans ta hardiesse
Vacillent ? Réponds, homme ébloui .

— “ Résolument gourmand
De ses plaisirs et de ses enfantillages,
Je ne ne renierai rien, comme Hippolyte
Fuyant la superbe Athènes.

Ô Rio de janeiro, belle dévoreuse,
En toi se vautre mes faiblesses.
Ton vaste ciel céruléen
Est le miroir de mes rêves,
Et sa frontière impalpable est la balise
De mes désirs où mon amour se confine
à l’infini. ”
